Les enveloppes globales de revalorisation devraient avoisiner 3,5 % de la masse salariale en 2024, contre 4,5 % l'an passé. Face à la frustration des salariés qui, malgré la baisse annoncée de l'inflation, subissent l'envolée des prix de l'alimentation, les entreprises doivent repenser leur approche salariale.